Pour les amateurs de méthodes naturelles, l’Antenne de Lecher est l’outil idéal pour diagnostiquer et tester les énergies subtiles. Simple et toujours prête à l’emploi, elle permet une investigation profonde, en présence comme à distance. Cependant, pour éviter de nombreuses erreurs, il est crucial de connaître les bonnes pratiques. Cette rubrique est dédiée à cet objectif.
Conductivité antenne de Lecher: la tromperie!
Citation de BIOLECHER le 21/10/2021, 11h19Conductivité de l’antenne de Lecher: vidéos trompeuses
L’antenne de Lecher est un outil de captation qui se démarque nettement du travail au pendule ou à la baguette du sourcier. Elle autorise les métiers apparentés à l’ésotérisme de se mouvoir dans une approche parascientifique totalement absente dans ces 2 autres outils classiques.
« Parascientifique » pour « partiellement scientifique ». Contrairement au pendule et à la baguette dont la réactivité découle d’un processus radiesthésique, la Lecher est avant tout : UNE ANTENNE.
Faute de l’avoir (bien) compris et à défaut de la compétence technique, des soi-disant experts en matière publient sur le Web des vidéos trompeuses. Elles attestent à la fois l’erreur de métier qu’ils commentent en utilisant la Lecher et leur incompétence pour en aborder, comme ils le font, l’aspect théorico-technique. D'autres champions, "experts par procuration", copient les premiers et font des nouvelles vidéos qui perpetuent la désinformation des non-initiés.
Cet article pour attirer votre attention sur le fait qu’une antenne, la Lecher incluse, répond à des principes de physique notamment étudiés en électronique.
Ce qui est bon à savoir
Le curseur de votre antenne peut coulisser entre les valeurs utiles entre 1,35 cm à 17,70 cm. Il s’agit de la plage des longueurs d’onde (λ/2) disponibles sur la Lecher auxquelles correspond la gamme de captation en fréquence respectivement comprise entre 11,103 giga hertz et 847.87 méga hertz.
Plus une longueur d’onde augmente, plus la fréquence qui lui correspond diminue. C’est normal. Si vous alignez des planches l’une derrière l’autre, dans le même espace vous en mettrez de moins en moins au fur et à mesure que leur longueur augmente.
Pas de panique, je ne vais pas plus loin. Ces questions ne sont nullement pas nécessaires pour vous initier et pratiquer avec succès.
À quoi est-ce utile de savoir ça ?
Cela permet notamment de:
- Conscientiser qu'avec votre antenne de Lecher vous tenez en main est un dispositif qui satisfait des principes électromagnétiques formels et communs à d’autres types d’antennes. Aborder ces principes requiert une compétence spécifique. Sans cela, des vidéos trompeuses sont produites et elles poussent à reproduire les erreurs et les délires pseudo-techniques de leurs auteurs.
- Savoir que c'est dans la gamme de fréquences précitées qu'irradient tous les sujets visibles et invisibles que nous dépistons avec l’antenne.
- Savoir aussi que, dans ce spectre de fréquences, deux longueurs d’onde: 2,50 cm et 17,60 cm (λ/2 pour les puristes) correspondent à des canaux de fréquence « omnibus ».
Mais alors: la « conductivité d’antenne », c’est quoi ?
C’est une information à la fois trompeuse et pretentieuse. Selon des improbables experts précités plus en haut dans cet article, vous devriez posséder un multimètre pour tester la continuité électrique entre les poignées de l’antenne et les fils de Lecher. Pour rappel, les « fils de Lecher » sont les 2 tiges parallèles entre lesquelles se déplace le curseur. Pour cela, l’utilisateur est présumé savoir qu’il doit sélectionner la fonction ohmmètre toujours disponible sur tout multimètre et s’assurer de la continuité électrique entre chaque bras de l’antenne et le fil de Lecher correspondant. Ce protocole est discutable pour plus d'une bonne raison. Citons celle que les 2 fils de Lecher ne font qu’un seul, car mécaniquement reliés par un chevalet au sommet ou étant un seul fil plié en boucle.
Le terme « conductivité » improprement utilisé dans ces vidéos est en fait une mesure de continuité électrique. CONTINUITÉ qui NE DOIT PAS EXISTER entre les poignées et les fils de Lecher. C'est une erreur significative et marque d'incompétence dans le chef des pseudo-experts qui affiment le contraire.
Avec l'antenne proposée par BIOLECHER cette erreur est impossible car, par fabrication, les bras et les tiges qui forment les « fils de Lecher » ne peuvent pas entrer en contact. Notons enfin que ce problème regarde surtout les antennes dont les bras sont à visser.
Sur la photo: en avant l'antenne BIOLECHER, en arrière une antenne avec poignées à visser. Une mollette permet de bloquer les poignées avant que la tige filetée ne touche les fils de Lecher. La photo ci-dessous donne l'idée de la difficulté d'usiner le pas de vis sans croquer la tige creuse.
Quel problème se pose-t-il si l'on commet cette erreur?
- Danger pour le praticien. La fréquence éventuellement nocive captée par l'antenne (cancers, entités astrales, points et matières pathogènes, ...) est transférée sur le praticien qui manipule l'antenne.
- Pour de nombreux signaux, surtout les nocifs, l'opérateur peut être en contre-passe et repousser le signal qu'il est en train de chercher.
- Surtout pour les débutants, le signal réel risque d'être contrasté par le signal attendu, ce par préjugé.
- Indépendamment de notre volonté (mais c'est plus difficile pour le débutant), notre corps EST UNE ANTENNE. Si les poignées de maintien de l'antenne touchent les fils de Lecher nous polluons la captation du signal préséleectionné par le curseur.
- La fatigue, les pressentiments et bien d’autres influences potentielles viennent altérer la fiabilité du travail avec l’antenne.
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Conductivité de l’antenne de Lecher: vidéos trompeuses
L’antenne de Lecher est un outil de captation qui se démarque nettement du travail au pendule ou à la baguette du sourcier. Elle autorise les métiers apparentés à l’ésotérisme de se mouvoir dans une approche parascientifique totalement absente dans ces 2 autres outils classiques.
« Parascientifique » pour « partiellement scientifique ». Contrairement au pendule et à la baguette dont la réactivité découle d’un processus radiesthésique, la Lecher est avant tout : UNE ANTENNE.
Faute de l’avoir (bien) compris et à défaut de la compétence technique, des soi-disant experts en matière publient sur le Web des vidéos trompeuses. Elles attestent à la fois l’erreur de métier qu’ils commentent en utilisant la Lecher et leur incompétence pour en aborder, comme ils le font, l’aspect théorico-technique. D'autres champions, "experts par procuration", copient les premiers et font des nouvelles vidéos qui perpetuent la désinformation des non-initiés.
Cet article pour attirer votre attention sur le fait qu’une antenne, la Lecher incluse, répond à des principes de physique notamment étudiés en électronique.
Ce qui est bon à savoir
Le curseur de votre antenne peut coulisser entre les valeurs utiles entre 1,35 cm à 17,70 cm. Il s’agit de la plage des longueurs d’onde (λ/2) disponibles sur la Lecher auxquelles correspond la gamme de captation en fréquence respectivement comprise entre 11,103 giga hertz et 847.87 méga hertz.
Plus une longueur d’onde augmente, plus la fréquence qui lui correspond diminue. C’est normal. Si vous alignez des planches l’une derrière l’autre, dans le même espace vous en mettrez de moins en moins au fur et à mesure que leur longueur augmente.
Pas de panique, je ne vais pas plus loin. Ces questions ne sont nullement pas nécessaires pour vous initier et pratiquer avec succès.
À quoi est-ce utile de savoir ça ?
Cela permet notamment de:
- Conscientiser qu'avec votre antenne de Lecher vous tenez en main est un dispositif qui satisfait des principes électromagnétiques formels et communs à d’autres types d’antennes. Aborder ces principes requiert une compétence spécifique. Sans cela, des vidéos trompeuses sont produites et elles poussent à reproduire les erreurs et les délires pseudo-techniques de leurs auteurs.
- Savoir que c'est dans la gamme de fréquences précitées qu'irradient tous les sujets visibles et invisibles que nous dépistons avec l’antenne.
- Savoir aussi que, dans ce spectre de fréquences, deux longueurs d’onde: 2,50 cm et 17,60 cm (λ/2 pour les puristes) correspondent à des canaux de fréquence « omnibus ».
Mais alors: la « conductivité d’antenne », c’est quoi ?
C’est une information à la fois trompeuse et pretentieuse. Selon des improbables experts précités plus en haut dans cet article, vous devriez posséder un multimètre pour tester la continuité électrique entre les poignées de l’antenne et les fils de Lecher. Pour rappel, les « fils de Lecher » sont les 2 tiges parallèles entre lesquelles se déplace le curseur. Pour cela, l’utilisateur est présumé savoir qu’il doit sélectionner la fonction ohmmètre toujours disponible sur tout multimètre et s’assurer de la continuité électrique entre chaque bras de l’antenne et le fil de Lecher correspondant. Ce protocole est discutable pour plus d'une bonne raison. Citons celle que les 2 fils de Lecher ne font qu’un seul, car mécaniquement reliés par un chevalet au sommet ou étant un seul fil plié en boucle.
Le terme « conductivité » improprement utilisé dans ces vidéos est en fait une mesure de continuité électrique. CONTINUITÉ qui NE DOIT PAS EXISTER entre les poignées et les fils de Lecher. C'est une erreur significative et marque d'incompétence dans le chef des pseudo-experts qui affiment le contraire.
Avec l'antenne proposée par BIOLECHER cette erreur est impossible car, par fabrication, les bras et les tiges qui forment les « fils de Lecher » ne peuvent pas entrer en contact. Notons enfin que ce problème regarde surtout les antennes dont les bras sont à visser.
Sur la photo: en avant l'antenne BIOLECHER, en arrière une antenne avec poignées à visser. Une mollette permet de bloquer les poignées avant que la tige filetée ne touche les fils de Lecher. La photo ci-dessous donne l'idée de la difficulté d'usiner le pas de vis sans croquer la tige creuse.
Quel problème se pose-t-il si l'on commet cette erreur?
- Danger pour le praticien. La fréquence éventuellement nocive captée par l'antenne (cancers, entités astrales, points et matières pathogènes, ...) est transférée sur le praticien qui manipule l'antenne.
- Pour de nombreux signaux, surtout les nocifs, l'opérateur peut être en contre-passe et repousser le signal qu'il est en train de chercher.
- Surtout pour les débutants, le signal réel risque d'être contrasté par le signal attendu, ce par préjugé.
- Indépendamment de notre volonté (mais c'est plus difficile pour le débutant), notre corps EST UNE ANTENNE. Si les poignées de maintien de l'antenne touchent les fils de Lecher nous polluons la captation du signal préséleectionné par le curseur.
- La fatigue, les pressentiments et bien d’autres influences potentielles viennent altérer la fiabilité du travail avec l’antenne.
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